Dans un arrêt du 15 Juin 2022, la troisième chambre civile de la Cour de cassation a jugé que le vendeur professionnel d’un bien immobilier est réputé connaître les vices cachés de la chose qu’il vend et doit en informer l’acquéreur. A défaut d’informer l’acquéreur non professionnel il est réputé de mauvaise foi. L’acquéreur pour…