La fièvre des travaux risque de remplacer la frénésie immobilière.

Après une année 2021 record en termes de ventes, une récente étude entrevoit une accalmie sur ce front mais une frénésie côté travaux.

À en croire Alain Tourdjman, directeur Études et Prospective du Groupe BPCE (Banques populaires, Caisses d’épargne), la fièvre immobilière que le pays a connu en 2021 aurait déjà connu son pic épidémique. Comme tous les observateurs, il note que l’année dernière a enregistré un niveau inégalé de transactions (1,2 million) et ce qui est encore plus remarquable à ses yeux, un taux de rotation de ce parc immobilier a dépassé pour la première fois les 3%. Et les Français restent plus convaincus que jamais (à 63%) que l’immobilier est le placement le plus intéressant sur le long terme.

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