La loi Climat, qui fixe un calendrier d’interdiction à la location des logements les plus énergivores, vise à valoriser les biens à forte efficacité énergétique. Les acheteurs scrutent déjà les étiquettes de A à G selon la consommation des appartements et maisons avec plus d’attention.
Jusqu’à présent, l’étiquette énergétique d’un logement (de A à G selon sa consommation d’énergie et son niveau d’émission de CO2) pesait déjà sur son prix de vente en province , dans les zones détendues. Mais quasiment pas en Ile-de-France ou dans d’autres grandes métropoles comme Lyon, Marseille ou Lille, où le déséquilibre est patent entre l’offre et la demande d’immobilier résidentiel, selon l’étude annuelle des notaires sur la « valeur verte » des logements.