Face au ralentissement du marché du crédit, le gouvernement pense avoir trouvé une solution avec les prêts « in fine ». Une formule qui, si elle a séduit le Premier ministre Gabriel Attal, est loin d’avoir convaincu le secteur bancaire.
Le prêt « in fine » est-il la solution magique pour les primo-accédants ? C’est ce que l’on pourrait croire en jetant un œil à l’ancienne déclaration de patrimoine de Gabriel Attal. En 2017, l’actuel Premier ministre a contracté un prêt « in fine » de 670 000 euros. Un montant d’emprunt qui fait rêver alors que la production de crédits immobiliers tourne aujourd’hui au ralenti. Ça tombe bien, car voilà quelques semaines que l’exécutif brandit la solution des prêts « in fine » pour relancer la machine.
