Immobilier : l’attrait des zones périphériques et de la verdure.

Le marché de l’immobilier fait preuve de résilience, mais il connaît des évolutions notables par rapport à la tendance qui prévalait avant la crise sanitaire.

Fin avril, la résilience du marché immobilier se confirme dans les dernières publications des professionnels du secteur, mais l’évolution de la tendance, qui s’est manifestée depuis la sortie du premier confinement au printemps 2020, est confortée elle aussi.

Concernant les ventes, une reprise haussière avait été constatée dès septembre 2020. Elle a conduit à un total de 1.024 000 transactions en rythme annuel au 31 décembre 2020, limitant ainsi la baisse des volumes à 4% sur un an après une année 2019 record. Une résistance remarquable compte tenu de la quasi-interruption du marché lors du premier confinement du printemps 2020 et d’une activité réduite lors du second confinement en novembre dernier.

Retour haut de page