Ces villes moyennes qui prennent vraiment leur revanche, et les autres…

Selon deux rapports officiels, la crise sanitaire a profité de façon contrastée aux villes de plus de 10.000 habitants. Si la plupart tirent parfaitement leur épingle du jeu, une minorité est en net retrait. Découvrez les gagnantes et les perdantes.

Plus vertes, à «taille humaine», offrant une meilleure qualité de vie, les villes moyennes ont redoré leur blason pendant la crise sanitaire. L’essor du télétravail a notamment accentué cet effet. Plus de 80% des Français considèrent ainsi qu’habiter dans une ville de taille moyenne est préférable au fait d’habiter dans une grande métropole, selon le Baromètre 2021 des territoires sur l’attractivité des villes moyennes de l’Ifop. Les migrations des centres urbains vers les villes moyennes ont surtout été visibles en région parisienne. Mais cette revanche des villes moyennes n’est pas homogène, elle varie selon les territoires, soulignent les deux études de l’institution rattachée auprès du Premier ministre France Stratégie, parues ce lundi, à la demande de la ministre de la Cohésion des territoires, Jacqueline Gourault. Elles s’appuient sur 202 villes moyennes françaises, de plus de 10.000 habitants, loin des grandes métropoles, et situées dans des zones urbaines de plus de 20 000 habitants .

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