Assemblées de copropriété : le vote par correspondance a parfois laissé un goût amer.

Depuis le début du mois d’octobre, les syndics de copropriété ne peuvent plus imposer aux copropriétaires la tenue de l’assemblée générale à distance.

Des honoraires prélevés à tort, des procès-verbaux d’assemblée générale avec des résultats de vote incompréhensibles, des syndics réélus alors qu’ils auraient dû céder la place : les professionnels et les associations représentant les copropriétaires dressent un constat sévère à l’issue de la période de crise sanitaire qui vient de s’écouler.

Pendant plus d’un an, en raison des règles de distanciation sociale, les assemblées générales de copropriété n’ont en effet pas pu se tenir normalement. En lieu et place de la réunion annuelle au cours de laquelle tous les copropriétaires se rassemblent pour prendre des décisions concernant l’immeuble, les assemblées se sont tenues par correspondance.

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