Quand un placement a tourné à la catastrophe, peut-on engager la responsabilité de l’intermédiaire financier ?
Les dossiers à scandale en matière de placement où des milliers de « petits » épargnants sont pris dans la nasse font florès. Comme la grande arnaque d’Aristophil , où 18.000 investisseurs ont cru à la plus-value rapide de la vente de manuscrits et de livres anciens. Mais aussi la déconfiture de sociétés hôtelières du groupe Maranatha , aux mains de 6.000 épargnants, un dossier en pleine enquête sur lequel pèsent des soupçons de cavalerie.
Alors quand un produit d’épargne tourne mal, quelle est la responsabilité de votre conseiller ? Comment l’engager ? Ce qu’il faut savoir.
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