Immobilier : comment évoluent les marges de négociation dans les grandes villes ?

Paris, Nantes, Bordeaux, Lille, Marseille… Découvrez dans quelles grandes métropoles les marges de négociation sont les plus fortes pour les acquéreurs de biens immobiliers.

Étonnamment, le marché de l’immobilier ancien a (pour l’instant) relativement bien résisté à la crise au cours de l’année 2020. D’abord, les prix de la pierre ne se sont pas effondrés. Ensuite, les volumes de vente, à en croire une majorité d’acteurs du secteur, sont restés relativement élevés. Le réseau Century 21 estime ainsi à environ 950.000 le nombre de transactions en 2020, contre un peu plus d’un million en 2019. La Fnaim, la plus grosse fédération des professionnels de l’immobilier, avance le chiffre de 980.000. Enfin, le spécialiste de l’estimation immobilière Meilleurs Agents, de son côté, anticipe un résultat compris entre 960 et 990.000… Même si l’on ne connaît pas encore les chiffres définitifs qui doivent être communiqués par les notaires, ces résultats donnent l’impression aux professionnels d’avoir “limité la casse” sur le marché de l’ancien. Cette belle dynamique n’a donc pas incité les vendeurs à “brader” leur bien plus qu’à l’accoutumée pour conclure un accord avec un acquéreur.

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