Cbanque du 07/11/2018 – Assurance-vie : comment les frais sur versement rognent la rentabilité.

“Choisir son assurance-vie en se focalisant sur les rendements des fonds en euros : une méthode efficace mais imparfaite ! Car de très nombreux contrats intègrent des frais de versement, amputant ainsi le capital avant même que l’argent ne génère des intérêts. Comment tenir compte de ces frais pour comparer les contrats, en 5 points.”

1 – Les frais sur les versements sont-ils plafonnés ?

5%, tel est le maximum annuel légal des frais de versements pour un contrat d’assurance-vie. Plus précisément, le code des assurances (1) souligne que le montant des « frais à l’entrée et sur versement » ne peut excéder 5% des primes, sur une année. Ainsi, ce maximum s’applique non seulement aux frais sur versement, facturés en pourcentage, mais aussi aux éventuels « frais d’entrée » ou « frais d’adhésion », qui s’ajoutent parfois au moment de la souscription. Raison pour laquelle certains contrats prévoient un maximum de 4,50% voire 4,75% ou 4,85% de frais sur les versements, et quelques dizaines d’euros de droits d’entrée, à l’ouverture.

2 – Quels sont les niveaux de frais réellement appliqués ?

Pour en savoir +

Retour haut de page